L’humanité s’obstine à nier la réalité, on mange, on dépense, on bouge dans du virtuel. Comme des canards qui courent encore alors qu’on leur a coupé la tête. […] Mon optimisme renaît quand j’écoute mes petits-enfants me parler de ce qu’ils veulent dans leur devenir, quand je vois dans la rue des gamins se tenir par la main.