S'il y a une différence d’échelle, il n’y a pas de différence de principe entre le fait de déraciner des communautés entières de koulaks et de les déporter dans l’Oural, et celui de dépouiller les Sénécas de leurs terres de manière à détruire leur cohésion institutionnelle et à contraindre ce peuple intelligent et capable à errer au loin en quête d’un foyer.
Je demande pardon aux Iroquois, et je veux essayer d’expliquer ici pourquoi il est possible de méconnaître à ce point les Indiens, et pourquoi il est difficile à ceux qui se soucient d’eux d’amener les autres à s’y intéresser.»