Je vais mourir, et je connais ma mort. Je l'ai vue en reve. Et mes rêves ne mentent pas. Ils sont l'ébauche des réalités a venir, et rien ne peut contrarier leur déroulement inexorable. Je vais mourir, au jour prévu de toute éternité, d'un coup d'épée dans le cœur, la ou ma peau est la plus tendre, le seul point de mon corps ou je sois vulnerable. Celui-qui-vient, le porteur de l'épée, sera mon assassin, et rien ni personne ne pourra faire dévier sa main.