Quant aux nuages, ce sont des êtres plus mystérieux encore. On ne sait pas d’où ils viennent, ni où ils vont. Mais il est certain que les blancs sont doux et pacifiques, que les rouges sont plein de violence et de fureur, et que les gris et les noirs portent le deuil d’une infinie tristesse.
Et tout ces êtres se connaissent et se parlent. Ils se parlent en une langue que Marcel ne comprend pas, mais qu’il imagine.