- J'y ai pensé, mais je me suis dit :
Si j'appelle, ils vont se sentir obligés de passer. Et le pasteur suivra, les pompes funèbres, et peut-être les petits-enfants. Avec tout ce monde et toute cette agitation, je ne pourrai pas fermer l'oeil de la nuit.
Donc, j'ai réfléchi, et j'ai pensé que si je passais une bonne nuit de sommeil, ton père serait tout aussi mort le lendemain matin. Alors j'ai dormi et je l'ai laissé comme ça.