Parfois je suis vivant parce qu'avec
parfois je suis en vie parce qu'avec
moi son corps alerte dort, semblable à un arbre,
que je sentirai lentement aiguiser
devenant distinct avec l'amour lentement,
qui dans mon épaule enfonce doucement des dents
jusqu'à ce que nous atteignions le printemps
intense et grand ensemble instantané
le moment agréablement effrayant
quand, sa bouche soudain se levant, tout
commence avec la mienne farouchement pour tromper
(et de mes cuisses qui
haussent les épaules et haletent une pluie meurtrière atteint en bondissant la fleur la plus profonde singulière ascendante qu'elle
porte d'un geste de ses hanches)