Pour ma part, je ne souhaite pas régner sur un troupeau de moutons craintifs et hébétés. Je veux que notre culture prospère, et je veux croire non seulement en moi, votre futur roi, mais également en la Macédoine tout entière, et en la place qui lui revient dans le monde connu. Je veux que mes conseillers reflètent la société dans toute sa diversité afin d'élargir mes connaissance et ma vertu. Je veux que chaque citoyen soit fier de notre nation et soutienne son essor. J'ai également compris que la Macédoine ne se développera qu'en s'ouvrant aux autres cultures.