Dans le texte - cela va de soi -, je n'ai employé, sauf exceptions, que le français; mais il est évident que tout ce qui fut dit avant 1914 l'était en alsacien (ou en allemand). Après la guerre, l'habitude nous était restée de parler le dialecte en famille puisque maman, comme beaucoup d'autres Alsaciens, avait des difficultés dans l'élocution du français.