Les bêtes sont déjà sur la gauche, et lointaines à la fois.
Elles tintinnabulent, paisibles, indifférentes. Le journal d’hier
mentionnait le loup tueur du Mercantour et d’ailleurs ; l’article
insistait sur la différence d’attitude entre le berger français qui
lutte et le berger italien de La Valle Stura qui vit avec la
présence de l’animal.
« Promenons-nous dedans le bois, tant que le loup n’y est
pas… » Et s’il y était cette fois ? Tentant…