Avec Grace, c’est une véritable partie de hockey en trois périodes. Il y a l’anticipation et l’excitation de la première période, la montée en puissance de la seconde, puis l’intensité exquise de la troisième qui se résume dans la notion sublime d’avoir accompli quelque chose de beau. Si je devais l’identifier, je dirais que nous sommes dans la seconde période : la montée en puissance. Des sessions où l’on se chauffe à mort et qui nous laissent courbaturés, sans la pression de la troisième période.