Au fond, s'il y a bien une chose apprise dans ce macabre enseignement, c'est que la mort ne confère aucun privilège. Riche ou pauvre. Jeune ou âgé. Beau ou laid. Une fois trépassé, le masque d'anonymat qu'elle dépose sur notre visage est le même pour tous. La faucheuse est d'une neutralité sans faille.