Devoir le lâcher, se lever, s'éloigner, tout cela en sachant ce qui l'attend ensuite...
Elle pourrait en perdre le souffle. Sa douleur est si grande qu'elle en devient physique. Impossible de lui jeter un dernier regard. Ce serait plus facile, se dit-elle, de ne rien désirer. De ne rien ressentir. A quoi bon vouloir quoi que ce soit ou qui que ce soit sans la liberté de choisir ?