La femme était souvent méprisée, toujours dépendante. Réduite au rôle de servante ou d’esclave de l’homme, elle ne s’appartenait pas vraiment elle-même ; elle n’avait pas de dignité propre, ni comme fille, ni comme mère, ni comme épouse ; elle était toujours à la disposition de l’homme. Jésus porte sur la femme un autre regard. […]. Bien souvent, il n’attend pas qu’elles lui expriment leur détresse.