Dans la rame, les visages sont impénétrables. Uniformes, indifférents. Pourtant, il y a parmi eux quelqu’un qui la suit, quelqu’un qui a bouleversé le cours de son existence. À moins que la folie ne se soit saisie d’elle. À moins que rien de tout ce qu’elle se figure ne soit jamais arrivé ailleurs que dans son désordre mental.