Le vin n’avait jamais été pour lui un vice, mais un plaisir. En plus de sa saveur et du prétexte que cela constituait pour lui de se trouver en compagnie, le vin lui avait procuré de véritables satisfactions d’amour-propre, le rendant vif, bavard et, même, éloquent ; et en lui donnant en outre la fierté de la résistance, car il pouvait en boire beaucoup sans être ivre.