Penser à Grace, penser à son corps doux et chaud, penser à son regard sincère qui trouvait toujours le mien provoquaient des émotions diffuses en moi. De la joie, oui. Des souvenirs, aussi. Un sourire parfois. Et puis, lentement, ma joie se muait en tristesse, mes souvenirs se teintaient d’amertume, mes sourires se transformaient en grognements de frustration.
Une nuit, c’était à la fois trop et pas assez. J’avais goûté à elle, senti son corps vibrer à l’unisson du mien et, maintenant, je me sentais vide, comme en manque d’elle. J’en voulais plus.