Nos corps s’épousent, s’imbriquent, s’aimantent, s’épuisent, mais en veulent encore. Insatiable, je me déhanche et ondule sur mon amant, la pièce remplie de mes gémissements, de ses soupirs et ses mots crus, et tente d’imprimer à jamais dans ma mémoire cet instant de plaisir, de fusion, si pur, si puissant. Dans un dernier baiser, un dernier va-et-vient, Lennon et moi jouissons presque à l’unisson. Il vient, je le rejoins.