...Je ne mentais pas alors, mais je ne confiais jamais le fond de mes émotions, sauf à mon chien... J'étais toujours souriant, et je crois que mes parents n'ont jamais soupçonné ma tristesse... Je n'avais rien d'autre à cacher alors, mais je cachais cela: cette angoisse, cette tristesse...(...) et quand on est pris dans cet engrenage de ne pas vouloir décevoir, le premier mensonge en appelle un autre, et c'est toute une vie...