« Faire d’Aymard un officier de l’armée française et qu’il devienne ainsi le digne successeur de son père, de ses oncles, des Foucauld d’antan… Voilà bien une idée qui mériterait de faire son chemin. » (p. 67)
« Aymard avoue à sa sœur son impécuniosité. Pourtant, le fait d’être éloigné des tentations d’un centre urbain et de l’obligation d’assurer une position mondaine limite ses dépenses et pourrait être de nature à lui permettre de se refaire. » (p. 172)