[...] je réalise que « la Vie » nous a accueillis,
nous les étrangers, les gens de peu de foi,
les prétentieux êtres modernes, sans même
jamais nous juger, ni chercher à savoir ce
que nous sommes réellement ou ce que
nous avons été, ce que nous avons fait de
notre propre planète ainsi que les nombreux
drames commis par nos récents ancêtres.
« La Vie » nous voit peut-être à travers les
yeux de ce peuple. Elle nous aime et nous
chérit comme ses propres enfants.