Ce n'est pas la France qui a perdu l'Algérie, ni l'Algérie qui a perdu la France. [...]. L'Algérie a gagné la guerre, certes ; qu'a-t-elle perdu en échange ? Nos rictus de préfets ? Notre morgue ? Le droit de porter le guennour et le burnous des spahis et celui de se faire trucider dans nos tranchées ?