Il est inutile de chercher dans ce tableau la véritable Teha'amana qui, bien qu'omniprésente dans l'œuvre du premier séjour de l'artiste à Tahiti, reste un personnage mi-réel mi fictif. Gauguin s'intéresse davantage à la musicalité de la toile qu'à la ressemblance photographique avec le modèle.