Emmanuelle Riva : Je prenais ces photos aspirée par la nécessité d’avoir des images de tout ce que je vivais, voyais là-bas… J’étais prise entièrement par la vie de là-bas. Jamais je n’ai pensé que ça pourrait intéresser d’autres personnes, plus tard. Aujourd’hui, je suis très surprise, grâce à vous. Jamais je n’aurai pensé qu’il y aurait ce désir aujourd’hui de voir les photos de cette vie d’après la bombe, à Hiroshima.