« …Ce lot de peurs, fondées et non fondées, que nous étions arrimés au corps, va avec son lot de pertes : en nous apprenant à craindre les forêts, nous avons été privés de ruisseaux, de hérons et de cerfs.
En nous apprenant à craindre la nuit, nous avons été privés des étoiles.
En nous enseignant à avoir peur de la solitude, nous étions privés du sentiment de complétude. »