Déglutir vomir le stress
Du goulot de ma gorge
Ce nœud de bouteille
Où toutes hontes bues
La part de l'ivrogne
Coule parfois en moi
Submergé par la folie
D'un monde à l'agonie
De victimes et de proies
Autant de vies sacrifiées
Pour tableau de maîtres
Ma tête émerge du cadre
Noyé ivre et implorant
Une sagesse nouvelle
In Les forêts sombres de vivre. Page 12