La tombe en tant que monument, même modeste, est ainsi l'objet transitionnel qui matérialise la séparation entre les vivants avec un défunt [...]. Sans ritualisation, sans socialisation, la séparation peut se révéler problématique [...]. [En arrivant ] à aboutir à l'agrégation du défunt à un autre monde, les endeuillés peuvent alors en faire non pas un non-être mais un non-existant [...] il doit y avoir des tombes parce qu'il faut transformer les morts en défunts.