Sans mon autorisation, des larmes s’infiltrèrent dans mes yeux, ce qui m’exaspéra. Assez ! Plus de faiblesse ! Ça me pesait déjà d’être un gamin de douze ans, pas besoin d’empirer la situation en virant au merdeux qui chouine… La rage retint mes pleurs et me permit de lâcher :
– J’adore Maman.