ls s’attardaient, le soir,
sur la terrasse
d'où partaient les chemins, de sable clair,
du ciel sans nombre.
Et si nue devant eux
Etait l’étoile,
Si proche était ce sein
Du besoin des lèvres
qu'ils se persuadaient
Que mourir est simple,
Branche écartée pour l’or
De la figue mûre.
Les reinettes, le soir