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Critiques de Eric Valland (7)
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8 Nouvelles érotiques inédites, tome 20

Ce 20e volume de nouvelles érotiques inédites fait la part belle aux personnages plus âgés qu'habituellement en romance / érotica : les plus jeunes sont en effet trentenaires, les autres ont la quarantaine voire plus, avec des enfants adultes depuis longtemps partis du nid. Une bouffée d'air frais, même s'il est donc beaucoup question de la fameuse crise et de routine dans cet opus. On sent également que le covid est passé par là, plusieurs auteurs mentionnant le confinement.



« La petite robe noire », « La tache » exploitent plus particulièrement le thème de l'amour et du désir qui s'émoussent, avec toute l'amertume qui va avec, à travers respectivement la jalousie et l'infidélité. Pas super joyeux donc. « La petite robe noire » met ainsi plus l'accent sur les sentiments, n'hésitant pas à appuyer là où ça fait mal. Avec « La tache », c'est l'inverse : du sexe brut, où il est compliqué de compatir avec l'héroïne qui trompe ouvertement son mari... ou pas, on ne sait pas trop s'il s'agit d'un fantasme ou de la réalité, sans doute ce qui, avec l'épilogue, permet à la pilule de passer.



« En visio, ne pas déranger » aborde aussi la routine, mais de façon plus douce ; Louis et Marianne réapprennent à pimenter leur vie sexuelle de façon originale et pleine de malice. Gaëlle Bouix signe là la meilleure nouvelle du livre, juste devant « Dans la tempête », avec une héroïne qui se découvre bi et un début de romance. C'est à la fois très sensuel, puis mignon.



Si vous voulez de l'originalité, « Une histoire de peau » va vous en donner à travers l'histoire à la fois la plus chaude... et froide... du recueil. Niveau sensualité, c'est bouillant, bestial, animal. Clairement, la plume de Natacha Touillon a « un truc ». Mais, parce qu'il y a un mais, le cadre peut tout autant séduire par son côté incongru que purement et simplement dégoûter : une chambre froide de boucherie, avec la viande et le sang partout, y compris sur les amants... Il fallait oser, l'autrice l'a fait, le résultat est pour le moins particulier, mais pas mauvais en soi, loin de là. Perso, ça m'a surtout refroidi...



En parlant de froideur, parlons de Meg, l'héroïne de « S'ouvrir au bonheur », qui ne sait pas ce qu'elle veut. Une romance « classique » entre collègues de bureau, comme toujours très bien écrite par le duo Géhin-Tinchant qui a réussi, en quelques pages, à caser plusieurs rebondissements.

Début de romance aussi dans « Pas un mot ! », à travers deux contacts internet devenant sex-friends et plus car affinités. Si l'on devine facilement le plot twist final, ça n'en reste pas moins une bonne histoire.



Reste le cas « La liseuse ». C'est un fait, Eric Valland et moi, à l'exception de « Un soir sur la Costa Brava » dans le tome 15 que j'avais bien aimé, ça ne passe pas. Pas de bol, ici, on a la quintessence de son style à travers un héros qui coche toutes les cases de l'incel (40 ans, de retour chez ses parents, accro au porno et à la pignole) et une histoire d'adultère qui sort de nulle part (la copine de son frère vient le trouver pour une partie de jambes en l'air puis repart comme si de rien n'était). Si encore ça avait été un fantasme, avec par exemple le héros se réveillant dans les dernières lignes, pourquoi pas, hein... Mais en l'état, c'est juste malaisant et pas sexy pour un sou. Même le « Brigade Mondaine » lu le mois dernier était de meilleur goût que ça. Bref, à l'avenir, à moins d'avoir un truc de positif à mentionner, vous ne me verrez probablement plus parler en détail des textes d'Eric Valland, si c'est pour toujours dire la même chose, c'est pas la peine.



Globalement, ce vingtième volet est donc plutôt un bon cru, avec une dose d'érotisme allant du soft au débridé, et des histoires pour tous les goûts. Pas mon préféré, cependant, malgré les excellents textes de Gaëlle Bouix et Florence d'Agosto.
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8 nouvelles érotiques inédites, tome 15

Un recueil de nouvelles qui paye pas trop de mine. Je m'attendais à de l'érotisme, mais... j'ai été laissée de marbres par les différentes histoires.

Je n'ai pas été emballée plus que ça.

Bien sûr ce sont des nouvelles... néanmoins, certaines n'avait à mes yeux pas un grand intérêt littéraire.
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8 nouvelles érotiques inédites, tome 15

A l'instar de l'opus précédent, ce quinzième « 8 nouvelles érotiques inédites » offre de la variété tant dans les situations que les personnages, en plus de proposer des histoires de saison.



Entre Bastien et Julia qui découvrent l'échangisme sur la Costa Brava, le voisin de wagon de Sonia qui tombe la chemise pour arriver frais à son entretien d'embauche, Camille qui profite de l'été en Bretagne puis Julie et ses copines qui font la même chose en Provence, le recueil sent bon les vacances... et pas que. Côté érotisme, il y a du très explicite, du sexy... et du presque sage, « Un étrange rituel » par Pierre Davoli (dont la plume est d'ailleurs sacrément chouette) ne comportant aucune scène de sexe directement décrite, tout étant dans la suggestion et le contexte. Les protagonistes des différentes nouvelles sont de toutes les tranches d'âge, de la vingtaine à la cinquantaine. Et, pour une fois, ne sont pas tous hétéro, Marie-Caroline dans « Un soir sur la Costa Brava » étant ouvertement bi, et Julie dans « Le baiser d'Elsa » se découvrant l'être. Quant à l'héroïne sans nom de « Quelle chaleur ! », c'est en solo qu'elle nous offre la nouvelle la plus chaude du livre.

Globalement, l'ambiance s'avère plutôt légère dans la majorité des nouvelles, même si elle se révèle parfois plus amère, notamment dans « La danse de Salomé », où l'on comprend tout de suite, à travers le discours énamouré de Jennifer, à quel genre de prédateur elle a affaire. Mais scénario plus sombre ne veut pas dire moins réussi, la conclusion étant tout simplement parfaite.



Oscillant entre romantica et érotica pure, « 8 nouvelles érotiques inédites », 15e du nom, s'avère une petite lecture estivale sympathique.
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8 nouvelles érotiques inédites, tome 14

Quelqu'un dans mon quartier doit être abonné•e à « Nous Deux »... ce n'est en effet pas la première fois que je découvre l'un de leurs petits livres dans la boîte à livres locale. Celui-ci aurait échappé à mon regard sans Mr pour me le faire remarquer... Lui voulait se moquer, mais moi, j'ai embarqué l'ouvrage en question et bien m'en a pris !



Les huit nouvelles sont en effet variées : amis d'enfance, inconnus, vieux couple, collègues de travail, exs, coup d'un soir... Si certains thèmes sont connus, il est vraiment agréable de découvrir des personnages de tous les âges, y compris des cinquantenaires dans deux des récits ! On est tantôt dans la romantica, tantôt dans l'erotica, selon que l'histoire penche vers un aspect sentimental ou non. Et pour le sexe ? Ça dépend des textes ! La plupart des auteurs prennent le temps de poser leur contexte et les ébats n'arrivent bien souvent qu'à la fin, mais tous ne font pas dans le détail. Différents degrés de coquinerie, donc, même si le côté explicite est indéniable. La couverture annonçait la couleur. En parlant de ça, autant prévenir : le second et l'avant-dernier récit mettent en scène des adultères.



« Une folle semaine » commence avec un paragraphe mémorable et mise beaucoup sur décor. Le rapprochement des personnages semble naturel... tout le contraire de « La nouvelle », où tant la narration que l'intrigue semblent bancals dès le départ. « La dernière séance » est indéniablement la meilleure nouvelle du livre, ainsi qu'un vrai coup de cœur, avec un vieux couple marié que l'on apprend à connaître, un cadre original et une scène de sexe très réussie. « Recette d'un mariage au château » met l'eau à la bouche... mais pas pour les raisons que vous croyez, la cuisine se révélant bien plus présente que l'érotisme. Et en un sens, tant mieux, car la conclusion déçoit un peu. « Sous la chaleur... » et « Jour d'orage » font progressivement monter la tension et s'avèrent très efficaces. « Le cadeau », beaucoup moins : long à démarrer et prévisible, il en plus faut accrocher à ce type d'histoire... Enfin, « Un bon plan » laisse un sentiment mitigé, Myriam étant un peu trop obsédée pour se rendre attachante.



Globalement, il y a du bon et du moins bon, mais aussi de l'excellent et du très bon et on passe un assez chouette moment de lecture.

Si le livre vous intéresse, sachez qu'on le trouve encore en magasin au jour où je tape ces lignes... mais plus pour tes longtemps !
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8 Nouvelles érotiques inédites, tome 21

Du changement dans ce vingt-et-unième tome de « 8 nouvelles érotiques inédites », à commencer par la couverture : exit le petit bandeau de dentelle en bas de celle-ci, au profit d'un plus sobre rectangle noir. Dommage, c'était dans le thème, d'autant plus que cet opus s'éloigne de la romantica pour s'axer davantage sur l'érotisme pur : seules trois des huit histoires laissent deviner une évolution romantique ultérieure, et encore, l'une d'entre elles concerne un couple déjà formé. Là encore, dommage, d'autant que certaines histoires se prêtaient à un épilogue plus optimiste. Une thématique constante lie tous les textes en revanche : le réveil du désir après un trop long sommeil.



Dans « Le cabinet secret », une étudiante trop sérieuse se laisse séduire par l'Italie... et un bel inconnu. C'est doux, sensuel, dépaysant, on aimerait que ça dure plus longtemps... et, peut-être, que ça se finisse différemment. Pourquoi Augusta Saint-Ambroise nous a-t-elle brisé le cœur, mystère ! Dans « En route vers le plaisir », même scénario pour Maud, mais au fin fond de la Provence, cette fois. Quelque chose sonne moins naturel dans les échanges, mais ça se lit tout de même très bien.



Les personnages d'« Un drôle de séminaire » voyagent aussi, mais ici, le décor n'est qu'accessoire, prétexte à une partie de jambes en l'air au goût d'interdit et au contexte pour le moins original. Inutile de chercher une trace de sentiments, par contre...



Pas de voyage mais un métro dans « Le dernier wagon », où les fantasmes de Lucie se mêlent peu à peu à la réalité, nous plongeant dans une ambiance particulière. Là encore, on pourra regretter le choix d' Augusta Saint-Ambroise pour la fin, même si celle-ci a du sens.



D'autant que juste avant, on avait déjà eu notre dose d'amertume avec « Une rose pour Zoé ». Pourtant, cette nouvelle est l'une des rares du livre à laisser entrevoir un avenir possible pour le couple. Mais pas le couple d'origine de Zoé... vous l'aurez compris, il s'agit d'une histoire d'adultère. Mais au delà de ça, il s'agit aussi d'un début de romance hyper mignon. On peut toujours compter sur le duo Géhin-Tinchant !



... qui, avant ça, nous livre également « Dans la peau d'une autre », avec un jeune couple super choupi qui apprend à communiquer. C'est sexy, c'est léger, ça met de bonne humeur, et on retrouve la pointe d'humour caractéristique des auteurs.



Début de romance aussi dans « Retour de week-end », où une héroïne frustrée à l'extrême et vraiment prête à sauter sur tout ce qui bouge se cherche un partenaire (mais sans alliance) en urgence. Dit comme ça, ça peut ne pas donner envie, et c'est vrai qu'au début, Pauline tape sur le système. Mais voilà : c'est drôle, et en plus ça se termine sur une note optimiste, alors c'est oui !



Reste à évoquer « Un soir de chance » d'Eric Valland. Parce que cette fois, j'ai effectivement des trucs gentils à dire sur un de ses textes ! La présence d'une héroïne bisexuelle est une très bonne surprise, même si on ne le découvre pas tout de suite. Mais surtout le fait que le héros n'en profite pas, ou du moins pas comme on pourrait l'imaginer. Célia n'en a rien à faire de lui (et vu qu'il est imbuvable, comme malheureusement souvent chez les héros de l'auteur, on comprend pourquoi), la vraie protagoniste du sexe à trois, c'est Anna. C'est sur son plaisir à elle que se focalise la narration, même si c'est à travers le regard de son homme. Suis-je réconcilié avec la plume d'Eric Valland ? Pas vraiment, le héros est une fois de plus un aimant à baffes, et son style reste fidèle à lui-même. Mais il y a du bon dans ce texte, qui mérite d'être mentionné. D'autant que la fin est positive.



Que penser de cet volet ? Côté érotisme, le contrat est largement rempli, avec différentes ambiances. La qualité est également au rendez-vous, même si l'on préférera certaines plumes à d'autres selon ses goûts. En revanche, si vous aimez vos histoires de sexe avec une dose de romantisme, ce n'est pas forcément le livre qu'il vous faut.
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8 nouvelles érotiques inédites, tome 18

Seuls des textes de saison composent ce nouveau volume d'histoires courtes allant de la romance légèrement épicée à l'érotisme pur et sans fioritures, le tout sous la chaleur – voire la canicule – estivale.



Si l'adultère vous fait grincer des dents, sachez que trois des textes sont ici concernés, le premier étant néanmoins organisé par le conjoint. Quant aux deux autres, les héroïnes y sont si malheureuses qu'on ne regrettera pas de les voir fuir vers des bras plus accueillants, pour une nuit ou pour la vie...



« Le réveil du désir », donc, une histoire d'adultère pur qui renaît vingt ans après. On aime ou pas, mais Paula Monty prend le temps de poser son histoire de sa jolie plume. Côté sexe, c'est vraiment soft et peu détaillé.



« Ariane au septième ciel », à l'inverse, narre sur presque vingt ans l'histoire d'un couple, au fil des idées toujours plus coquines d'Ariane, racontées du point de vue de son mari. C'est très chaud et on ressent vraiment la complicité des personnages, ainsi que leur attachement toujours inchangé. Une chouette romance érotique au rythme parfait, qui ferait presque acheter le recueil à elle seule. Un coup de coeur !



« Des vacances inspirées » raconte le dérapage (inévitable ? ^^) d'un couple d'écrivains, via un plot twist très bien vu. Impossible d'en dire plus sans gâcher la surprise ! le contexte est placé, les dialogues – comme souvent avec le duo Tinchant-Géhin, sont pleins de malice et l'érotisme au rendez-vous.



« Le temps d'une nuit d'été » a des allures de songe. Si l'érotisme y est tout en retenue – ce qui n'est d'ailleurs pas plus mal –, c'est véritablement son ambiance douce-amère qui séduit. J'aurais aimé une autre fin, mais celle choisie par l'autrice se tient néanmoins très bien.



Ah, « Nuit étoilée au Maroc » ! Moi qui adore les romances orientales, j'ai été comblé avec cette histoire. Un décor de rêve décrit en détail, un bel inconnu, un fiancé absolument détestable, une héroïne indépendante et une fin parfaite : rien. à. redire. On a de l'évasion, de l'érotisme, du romantisme, tout y est. Merci, Augusta Saint-Ambroise !



Il fallait bien un maillon faible, et c'est « Un désir incandescent », où le narrateur-héros insupportable et très injuste envers sa soeur se laisse séduire par la collègue de cette dernière. Ça a davantage la saveur d'une romance ; sauf qu'une romance entre deux personnages aussi amers, ça ne donne pas envie ! Et ce n'est pas la scène de sexe assez fade qui sauvera les meubles...



« Septième vague » parle de surf, de relation toxique, d'amitié, de nouveaux horizons, de soleil, de sel sur la peau. Tout ça en à peine onze pages. Si la fin est un peu rapide, le développement du reste de l'histoire compense largement. Et tant pis si l'érotisme n'est pas vraiment présent.



« Mon homme de ménage » présente également une héroïne au conjoint irrespectueux qui mérite mille fois plus son bel inconnu que d'être traitée si mal. L'histoire est classique, mais la plume de Gaëlle Bouix fait lentement monter la tension.



Un très bon recueil donc, qui ne pourra que plaire aux fans du genre !
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8 nouvelles érotiques inédites, tome 19

Un bon cru que ce 19e tome de nouvelles érotiques made in Nous Deux, offrant une jolie variété dans les histoires proposées.



Pourtant, ça commence plutôt mal avec « Le marathon érotique », une histoire centrée sur la jalousie maladive de l'héroïne. L'érotisme n'y tient qu'une place minime, et encore, on ne peut pas dire qu'un plaisir en solitaire dans les toilettes d'un bar soit sexy... Ni émoustillant, ni romantique. On a connu Paula Monty plus inspirée.



« Une nouvelle danse », en revanche, offre tout ce que l'on est en droit d'attendre : c'est sensuel et pourtant tout en retenue, avec un coeur du récit cette discipline de danse originale. La tension monte progressivement et promet un joli début de romance. Bref, C'était très cool.



Avec « Envoûtante métamorphose », le duo Géhin-Tinchant nous fait rencontrer un couple irrésistible, uni par une complicité palpable... et un désir commun irrépressible. le format court de l'histoire n'empêche pas les auteurs de poser un contexte et même glisser un peu d'humour. Là encore, une franche réussite.



Un enthousiasme que douche un peu « L'apéro »... C'est très très longuet, à l'inverse la scène de sexe est pliée en une demi-page, et le fait que le héros ait tenté de téléphoner à sa femme deux secondes avant ruine définitivement l'ambiance. Parce que oui, en plus, c'est une histoire d'adultère...



« Un charisme magnétique » possède une ambiance plus sombre que les récits habituels du duo Géhin-Tinchant (oui, encore eux, mais ils déçoivent rarement, alors tant mieux !), ainsi qu'un côté plus « droit au but », même si la fin se montre plus optimiste. le métier des protagonistes et leur différence d'âge apporte une touche d'originalité sympa.



« Être de son temps », comme le suggère son titre, présente un couple plus âgé... à la mentalité peut-être encore plus rétrograde que la moyenne. Ça plombe un peu l'ambiance... sans parler des caresses en douce sous la table alors qu'il y a *les enfants* juste à côté... Alors ok, la tension monte, mais... rah, non, c'est quand même limite.



« La juge et le prisonnier » joue sur les fantasmes et les interdits. Jusqu'au bout, on peine à déterminer la part de rêve et de réalité, on ignore comment tout ça va finir... Il y a une véritable atmosphère dans cette histoire, un peu douce-amère, à l'image de la fin, terriblement frustrante et pourtant si logique. Je préfère les contes de fées, mais merci quand même à Vera Lind, j'ai adoré cette histoire.



« La directrice » joue là encore beaucoup sur le fantasme, avec une héroïne clairement bi (mais dans le déni) et une histoire construite sur la durée. C'est très bon... jusqu'à la fin, qui tombe comme un cheveu sur la soupe et non sans amertume. Pourquoi cette agressivité, ce chantage ? Non, vraiment, il n'y avait pas besoin de ça pour caser du sexe là.



Si quatre des histoires sont donc moins convaincantes que les autres, les bonnes, elles, valent franchement le détour... d'où le point bonus accordé.
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