Mon opinion repose sur la ferme conviction que tous les succès remportés dans le secteur moderne risquent de n’être qu’illusion, s’ils ne s’accompagnent d’une croissance saine — ou tout au moins d’une saine stabilisation de la situation — des très nombreuses populations dont le lot, aujourd’hui, n’est plus seulement une extrême pauvreté, mais encore la perte de tout espoir.