(...) La révélation lui vint que la vie de son père était la plus belle des vies qu'il ait jamais connues. Riche dans sa pauvreté, large dans son étroitesse, et à la fin éclairée d'un éclat qu'il n'avait trouvée à nulle autre vie. Il avait appelé cela la paix, mais il n'avait pas dit d'où elle lui était venue. Il avait emporté son secret, et seul un reflet était resté comme d'un feu paisible derrière l'horizon (pages 464-465).