Un petit oiseau m'a dit qu'il était temps d'épousseter ma plume. Enfin, ça c'est quand je pense en anglais. Si je pense en français, c'est pas un petit oiseau qui m'a dit ça, c'est mon petit doigt. C'est pour ça que je suis contente de penser en deux langues : je peux recevoir des informations d'un tétrapode ailé ou d'une extrémité articulée. C'est bien pratique, tout de même.