Dans un geste de libération, de provocation audacieuse, Tamar enlève son chapeau, d'u coup, libérant ainsi de longs cheveux qui retombent en cascades de soie rousse, presque rouge. C'est plus qu'une perruque, c'est toute sa féminité enfin réalisée qui coule en elle. Cette joie, les paumes ouvertes vers le ciel, offertes à la vie. Tout ce qu'elle est vraiment.