Quand vient la retraite, puis la vieillesse, quand approche la mort, cette nécessité pour l'être humain de relire son histoire apparaît plus fortement, même s'il n'est plus question alors de réorientation ni même de confirmation.
Se retourner et contempler sa trace permet de se dire que l'on ne disparaît pas complètement, que l'on a accompli et transmis quelque chose. (p. 27)