Les arts seraient pour jamais exposés au caprice et au hasard, si ceux qui doivent juger de leur mérite n'appuyaient pas leurs décisions sur des principes sùrs, et si les beautés et les défauts des productions des artistes devaient être déterminés par une imagination déréglée; et, en effet, on peu dire hardiment que toute la connaissance spéculative dont l'artiste a besion est de même indispensablement nécessaire au connaisseur.
Sixième discours pronocé à l'Académie royale de peinture de Londres, par Josué Reynolds.