A midi, rue des Pyrénées, commencent à siffler les sirènes. Les portes des usines s'ouvrent ; les ouvriers sortent, isolés, par groupes, courant, criant, et des gars sautent sur des vélos. Depuis sept heures du matin prisonniers, ils vont vers des gargotes reprendre des forces, joyeux de ce moment de liberté.