Mais le gros Édouard, c’est Albert qu’il regarde, son frangin qu’il retrouve comme huit jours avant, son frère bien-aimé dont le visage était à l’image du sien. Et, à présent, tous deux sont tête-à-tête, comme souvent… silencieux, mais ils n’avaient pas besoin de paroles pour se comprendre, ni de sourires, ni d’un seul geste, après tant d’années de vie commune.