Les forçats sont un mélange de bien et de mal, et, si le mal domine, c'est surtout par la force de l'ambiance honteuse qui gangrène tout.
Quand on a vécu quinze ans parmi les forçats, on a mille preuves que les trois quarts d'entre eux auraient pu être sauvés d'eux-mêmes avec des méthodes saines et intelligentes.