"Quatre de mes meilleurs chasseurs de Guyane sont morts dans l'enfer du Vénézuela. En l'apprenant je ressentis une grande tristesse, doublée je l'avoue, d'une déception : mes hommes, de ce même enfer, m'avaient envoyé, pendant plusieurs années, de multiples spécimens d'espèces que je connaissais mal. Et après leur mort, j'eus grand-peine à trouver d'autres chasseurs qui consentissent à affronter pour moi les multiples dangers de l'Orénoque."