Le coeur (que je pensais ne plus avoir) au bord des lèvres, son parfum envoûtant s'enroulant dans chaque recoin de mon être, autour de mes synapses, de mes résolutions, je reste statufié, assujetti par sa vulnérabilité.
Et pour la première fois de ma vie, c'est moi qui obéis.
-Mahé-