Pouvait-on vivre uniquement dans des livres, à travers livres?
Oui, pour assourdir la rumeur ignoble du monde, ce cri vulgaire et souffrant qui lui vrillait le crâne à la manière des portes de prison qui grincent. Et pour oublier son tumulte intérieur aussi, cette noire marmite bouillonnant au rythme des souvenirs.