Chacun peut donc s’acheter un triskel, appeler son fils Maël et même porter des plaques « 22 » au fin fond de la Sarthe si ça l’amuse. Des festoù-noz sont organisés jusqu’en Haute-Savoie de nos jours. Mais alors, qu’est-ce qui distingue réellement un Breton d’un Basque, d’un Occitan ou d’un ressortissant des Deux-Sèvres alors ? La langue !