[Ils ont] développé une communication basée sur la proximité.
Ils ont besoin de toucher, de goûter, de sentir, de palper, de humer la peau pour comprendre réellement à qui ils ont affaire.
C'est une sorte de télépathie tactile, quelque chose de purement charnel.
Ce n'est pas désagréable d'ailleurs. Un peu bizarre sans doute.