Fabienne Albina

Quand on comprend la cuisine d’un peuple, on comprend ce peuple. On saisit la richesse de son imagination, on approche de sa sensibilité, de sa poésie… Et quand il ne mange pas, on pleure sa souffrance…

Un monde de grande intelligence, certes, de grande technologie, de grandes découvertes scientifiques qui avait assurément préservé l’humanité de grandes catastrophes, sauvé le monde de grands malheurs… mais qui devait aujourd’hui toucher les dividendes, rafler les intérêts au prix d’un égoïsme si grand qu’il allait à l’encontre de toute humanité, de tout espoir, de tout amour.

Le mariage n’est pas un acte d’amour, mais un contrat… et dans un contrat, on met ce qu’on veut.

Il n’y a rien à perdre… Parce qu’il n’y a rien à perdre à aimer les autres.

Les crapules auxquelles je pense font parler les muets et voir les aveugles, alors y’a pas une discrétion qui leur résiste…

L’amour est assurément le plus coûteux et le plus dangereux des plaisirs extravagants quand il n’est pas un devoir.

Les riches veulent la première place pour presque tout sauf pour leurs appartements, toujours au dernier étage.

A côté de la réalité du monde et de ses misères, à côté de la vie… La simplicité a fait de moi un homme simpliste… Heureusement tout change, et rien ne sera plus comme avant… jamais.

Fais comme moi, tu donnes à qui tu ne connais pas : les fauchés c’est une grande famille, quand tu donnes à un, ça sert à tous… faut pas couper la chaîne, c’est tout

Comme un arbre, c’est rarement celui qui le plante qui récolte les fruits.