- Hou toi ! Tu m'énèrves. Tu ne fais rien de ta journée. Tu ne sers à rien. T'es moche, t'es vieux et tu pues, je lui ai crié. Vire de mon lit avant que je te tire les moustaches. [...]
- C'est bête, hein ? je lui ai dit. T'as pas de bras. T'es donc un chat, pas un humain. Alors arrête de faire comme si tu voulais toujours te mêler de ce qui ne te regarde pas.
Et zou ! Je l'ai mis à la porte.