Bon nombre d'histoires, amplifiées par les réseaux sociaux, circulaient sur les renards urbains....On évoquait d'abord une mutation comportementale : ses liens s'étant resserrés avec l'homme, qui avait commis l'erreur de le nourrir, de le caresser, l'intronisant animal de compagnie, Goupil n'avait plus peur de notre espèce, déchue de son statut vertical. désormais sans crainte, il nous voyait comme des égaux et, qui sait, dans un avenir proche, peut-être comme des rivaux...