Le sort de cet infortuné absorbe actuellement toute mon attention. Si malheureusement il persiste dans l’horrible dessein qu’il a formé, on l’en empêchera difficilement. Que ne puis-je approfondir la nature des maux auxquels il est livré ! Que ne puis-je apporter quelque soulagement à ses souffrances ! Je suis sûre, monsieur, que vous lui accorderez votre compassion. Que n’êtes-vous ici, vous trouveriez peut-être le moyen de le faire revenir de l’erreur qui l’aveugle, et de verser dans son ame affligée un rayon de paix et de consolation.
Lettre 43