La mort de l'être qu'on aime, c'est dans les lieux familiers qu'on va la rencontrer plusieurs fois par jour, des mois, des années durant; c'est dans les gestes familiers, machinaux, qui ne trouvent plus à s'accomplir, qui s'interrompent brusquement sur le vide. Les objets restent pleins de celui qui n'est plus. (p.118).