Paradoxalement, les anciens supplétifs [les Harkis] sont toujours considérés comme Algériens [par les autorités algériennes], la déclaration effectuée par ces derniers de la recognition de la nationalité française n'est pas avalisée par les autorités algériennes. Leurs épouses et leurs enfants sont tout autant considérés comme des nationaux algériens, malgré la présentation de passeports français.