Il ne s'agit pas ici de substituer la littérature à l'histoire, mais nous croyons que la fiction, grâce à sa capacité à s'extraire du déterminisme historique, à déplacer les échelles du temps et de l'espace, à s'intéresser aux trajectoires individuelles telles qu'elles naviguent Le long du courant de l'histoire évenementielle, offre l'occasion de lire une autre histoire, non institutionnelle, plus complexe et ambiguë.
(Postface de Gwennaël Gaffric)